Bonjour à tous, C’est mon premier Podcast. Avec quelques trébuchements de rigueur, un ton qui aurait gagné à être un poil plus léger…. Mais les textes…les textes… l’Absolu selon Romain Gary C’est de l’eau de David Foster Wallace Et, s’il revenait un jour
Pour un coup d'essai, je dirais que c'est particulièrement réussi. Ta voix posée sur cette sélection de textes amplifie leur portée ou plutôt leur capacité à nous emporter.
Le texte de Romain Gary m'a fait penser à cette citation de Novalis : Nous cherchons partout l'absolu et ne trouvons jamais que des choses.
Sur la forme déjà, j'ai adoré t'écouter. Ta voix passe très bien dans un podcast, et cela vient de quelqu'un qui n'aime pas trop écouter de podcasts en général).
Sur le fond ensuite, quel plaisir de découvrir ces textes. Le premier sur la morsure de l'éternel de Gary est une belle claque, des mots posés sur des émotions que j'ai pu ressentir sans les dire. On touche à l'indicible, le pur génie des mots.
Le second vient plus me bousculer dans cette déconstruction de l'intellectuel. Je me reconnais parfois dans le rôle de celui qui juge les autres en caisse (guilty 😅) J'y vois un appel à l'empathie, "un décentrage" qui remet chacun à sa place.
Le troisième est, me semble-t-il, le fruit d'une démarche plus personnelle et plus intime de ta part. Merci pour ce partage ! J'attends le volume 2 :)
Pour un coup d'essai, je dirais que c'est particulièrement réussi. Ta voix posée sur cette sélection de textes amplifie leur portée ou plutôt leur capacité à nous emporter.
Le texte de Romain Gary m'a fait penser à cette citation de Novalis : Nous cherchons partout l'absolu et ne trouvons jamais que des choses.
Merci pour ce partage.
Merci Patrick pour ces superbes découvertes !
Sur la forme déjà, j'ai adoré t'écouter. Ta voix passe très bien dans un podcast, et cela vient de quelqu'un qui n'aime pas trop écouter de podcasts en général).
Sur le fond ensuite, quel plaisir de découvrir ces textes. Le premier sur la morsure de l'éternel de Gary est une belle claque, des mots posés sur des émotions que j'ai pu ressentir sans les dire. On touche à l'indicible, le pur génie des mots.
Le second vient plus me bousculer dans cette déconstruction de l'intellectuel. Je me reconnais parfois dans le rôle de celui qui juge les autres en caisse (guilty 😅) J'y vois un appel à l'empathie, "un décentrage" qui remet chacun à sa place.
Le troisième est, me semble-t-il, le fruit d'une démarche plus personnelle et plus intime de ta part. Merci pour ce partage ! J'attends le volume 2 :)