Bienvenue sur Umanz une lettre où un automate parle à des intelligences naturelles. Dans le monde extérieur, le non-sens n’a pas pris de vacances c’est pourquoi j’ai opté pour un démarrage délicat et lent après afin de ne pas brusquer la machine. Je partagerai donc, pour retisser du sens, de la beauté et promener à nouveau mon point d’interrogation sur le monde, ma dernière récolte de bouchées contemplatives (et autres poudres de fées…
merci pour cette séquence incroyable avec Nicolas Cage !. Jouissif à regarder. J'y vois aussi un écho à ce que j'avais écrit sur la matrice de Baudrillard, le concept du "réel"et des simulacres. Quand la haute cuisine qui se prend trop au sérieux devient simulation du réel.
Tout à fait Kevin et en écho à pas mal de conversations hier soir :
"La vertu du réel est l'entêtement et l'éternel retour. Le réel est ce qui revient, c'est comme ça qu'il se rappelle à nous.
Le réel est toujours du côté du réfractaire, du fugitif, du résistant, de tout ce qu'on cherche à calmer, ordonner, faire taire et qui revient quand même, et qui revient encore, et qui revient sans cesse - incorrigible. L'écriture est de ce côté-là. Tout ce qui s'entête à vivre est de ce côté-là."
merci pour cette séquence incroyable avec Nicolas Cage !. Jouissif à regarder. J'y vois aussi un écho à ce que j'avais écrit sur la matrice de Baudrillard, le concept du "réel"et des simulacres. Quand la haute cuisine qui se prend trop au sérieux devient simulation du réel.
Tout à fait Kevin et en écho à pas mal de conversations hier soir :
"La vertu du réel est l'entêtement et l'éternel retour. Le réel est ce qui revient, c'est comme ça qu'il se rappelle à nous.
Le réel est toujours du côté du réfractaire, du fugitif, du résistant, de tout ce qu'on cherche à calmer, ordonner, faire taire et qui revient quand même, et qui revient encore, et qui revient sans cesse - incorrigible. L'écriture est de ce côté-là. Tout ce qui s'entête à vivre est de ce côté-là."
Christian Bobin, Autoportrait au radiateur